Votre navigateur est obsolète!

Mettez à jour votre navigateur pour afficher correctement ce site Web. Mettre à jour maintenant

×

Le marché dominical du Colvert déménage à partir du 29 septembre pour permettre le début des travaux de la nouvelle place attendue en 2026.

Colvert : les étals se décalent © Noémie Laval
Le marché du dimanche matin (8h-13h) va s’installer progressivement à quelques encablures de son emplacement actuel.

25.09.2024

JDA 1092

Ils étaient installés rue Léo-Lagrange depuis 2018 et le début de déconstruction de la halle commerciale du Colvert dont ils occupaient le parking. Les quelque 150 marchands dominicaux réguliers déménagent à nouveau à partir de ce dimanche. À deux pas : un peu plus à l’est rue Léo-Lagrange, au pied du Nautilus, ainsi que rue César-Franck et devant l’Atrium, avenue de la Paix.

 

Avec les commerçants

Pourquoi ? Afin de libérer la place nécessaire à la démolition des dernières cellules de la halle historique. Une halle face à laquelle un nouvel ensemble commercial a vu le jour en 2021 rue Winston-Churchill. « Nous avons beaucoup discuté avec les commerçants pour déterminer les nouveaux emplacements, le plan de circulation et régler les questions techniques, précise Nathalie Lavallard, adjointe au maire d’Amiens déléguée aux marchés. Tout leur a été présenté en détail. »

Un Colvert plus vert

Mais tous ne déménagent pas ce 29 septembre. L'opération, complexe, va se dérouler pendant plusieurs week-ends, notamment concernant la vingtaine d’emplacements destinés aux commerçants ponctuels (tirés au sort chaque semaine). La transformation en poumon vert de l’emprise occupée par l’ancienne halle et son parking débutera dans la foulée des ultimes démolitions. Y sont attendus 17 000 m2 de verdure et d’activités, square Paul-Gauguin compris, pour 2026 (lire ici l’article du JDA #1073). « Ce beau projet alliant confort, convivialité et sécurité a été établi en concertation avec les habitants », souligne Jean-Christophe Loric, adjoint au maire délégué au secteur Nord. Autre signe du renouvellement du quartier : le grignotage de Couperin, la dernière des barres de l’avenue de la Paix, s’achève ces jours-ci.

Jean-Christophe Fouquet