Ode à l’altérité
Du 11 au 14 mars, la question de l’identité sera au cœur du temps fort Genre de cirque autour de deux spectacles, une rencontre, une soirée jeu et un DJ set.
05.03.2025
JDA 1109
Quand les arts du cirque s’emparent de la représentation des individus dans la société, c’est la liberté qui l’emporte ! Pendant quatre jours, le Cirque Jules-Verne fait la part belle à la différence et aux identités de genre et culturelles. Cela débute le 11 mars au soir avec le spectacle Faire le choix de ne pas choisir, qui porte sur la volonté de n’entrer dans aucune case. Le chorégraphe et trapéziste Lé Henry-Serebryakov y loue l’imperfection et le besoin de se réapproprier son corps.
Le lendemain (18h), une rencontre-débat réunissant des artistes, une sociologue et des représentants d’associations permettra de partager autour du sujet des identités dans la création artistique. La soirée jeux du 13 (de 18h à 21h) sera, comme la veille, conviviale, tout public et gratuite.
Danser sa liberté
Le second spectacle, Black Dog (le 14 à 20h), traite des difficultés à être une femme, un homme, un couple, un groupe… Les quatre artistes de la Compagnie Gokaï entraîneront les spectateurs dans leur univers visuel sur une bandeson très présente, qui évolue avec eux dans le temps. Ils danseront les peines et les moments tendres qui rythment leurs existences, poussés par la liberté féroce de pouvoir être eux-mêmes. À la suite de Black Dog, c’est en musique que s’achèvera Genre de cirque : la DJ Catherine Avel sera aux platines pour faire danser le public une bonne partie de la soirée.
Candice Cazé
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