Amiens n'est plus une ville sûre. Nos propositions :

La sécurité est importante et sera un axe fort du programme de Renaud Deschamps lors de l'élection municipale de mars 2026, comme elle le fut lors de la dernière élection de 2020. Il n'y a pas une journée sans que nous ne recevions pas de témoignages de tous ordres d'Amiénois, qui relèvent des défaillances. Contrairement à l'adjoint au maire chargé de la tranquillité publique qui rejette systématiquement les responsabilités à l'État et à la police nationale, nous sommes convaincus que le maire a sa part à jouer. Nous avons une police municipale, mais à force de la vider de sa substance, elle est en sous effectifs. En moyenne, 4 à 8 policiers sont en fonction pour couvrir toute notre ville de 136.000 habitants en journée et 0 à 4 selon les nuits. Quand un Amiénois appelle le poste central, on lui répond trop souvent qu'aucun équipage n'est disponible. Cela n'est plus tolérable et pourtant le maire refuse d'augmenter ses effectifs. Sans augmenter les impôts, il y a des rééquilibrages à faire sur les recrutements et nous les ferons. Une ville moins sûre n'est pas une ville où on se sent bien. La question de l'armement doit aussi être assumée et Renaud Deschamps l'assumera. Nos policiers doivent être armés pour se protéger et protéger les Amiénois d'un fou qui pourrait, par exemple comme à Annecy, s'en prendre à des parents et enfants au parc Saint-Pierre où devant une école. Les normes nationales de formation au port d'armes sont rigoureusement et drastiquement encadrées, puis validées par les préfets. Un policier municipal armé a autant de compétences qu'un policier national armé. Il y a des villes de France qui ont une police municipale qui travaille en hyper collaboration avec la nationale et qui maintiennent des taux bas de délinquance et reconquièrent des quartiers où le non-droit n'a pas lieu d'exister. Amiens peut retourner vers cette voie.