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Icare la tête ailleurs

du 01 octobre 2024 au 03 octobre 2024

Prix à partir de

Katerini Antonakaki

Compagnie pEtites perceptiOns

Mar. 01 oct. à 20h

Mer. 02 oct. à 20h

Jeu. 03 oct. à 19h30

Tout public à partir de 12 ans

Durée : 1h

Icare la tête ailleurs est un projet de théâtre d'objets et de scénographie visuelle et sonore. Le processus de création du spectacle s'est fondé sur la recherche d'un langage, d'un dialogue entre les mots d'un texte écrit sur mesure et les images et objets sonores animés dans une chorégraphie d'espace millimétrée. Le texte quant à lui naît dans le mythe d'Icare : enfermé dans un labyrinthe, Icare et son père Dédale l'architecte, se fabriquent des ailes et s'en échappent par les airs. Mais Icare, grisé par le vol et ignorant les mises en garde de son père, se brûle les ailes en approchant le soleil, tombe dans la mer et se noie. Dans Icare la tête ailleurs, le jeune protagoniste scrute ses difficultés d'être avec les autres, erre perdu dans le labyrinthe de sa tête où résonnent les conversations avec Dédale et rêve d'un envol qui l'éloignerait du sombre présent en le rapprochant de la lumière éclatante du soleil. À travers les références au mythe, le spectacle parle de la Peur et de l'Isolement, Dédale incarnant la conscience d'un jeune d'aujourd'hui, Icare. C'est également la question de l'émancipation de la jeunesse qui est posée, à travers de multiples métaphores. Comme à son habitude, Katerini Antonakaki nous emmène dans un univers visuel chargé de poésie en mouvement, tout en adressant des questions ouvertes à la mythologie intime de chaque spectateur.

Katerini Antonakaki

Compagnie pEtites perceptiOns

Mar. 01 oct. à 20h

Mer. 02 oct. à 20h

Jeu. 03 oct. à 19h30

Tout public à partir de 12 ans

Durée : 1h

Icare la tête ailleurs est un projet de théâtre d'objets et de scénographie visuelle et sonore. Le processus de création du spectacle s'est fondé sur la recherche d'un langage, d'un dialogue entre les mots d'un texte écrit sur mesure et les images et objets sonores animés dans une chorégraphie d'espace millimétrée. Le texte quant à lui naît dans le mythe d'Icare : enfermé dans un labyrinthe, Icare et son père Dédale l'architecte, se fabriquent des ailes et s'en échappent par les airs. Mais Icare, grisé par le vol et ignorant les mises en garde de son père, se brûle les ailes en approchant le soleil, tombe dans la mer et se noie. Dans Icare la tête ailleurs, le jeune protagoniste scrute ses difficultés d'être avec les autres, erre perdu dans le labyrinthe de sa tête où résonnent les conversations avec Dédale et rêve d'un envol qui l'éloignerait du sombre présent en le rapprochant de la lumière éclatante du soleil. À travers les références au mythe, le spectacle parle de la Peur et de l'Isolement, Dédale incarnant la conscience d'un jeune d'aujourd'hui, Icare. C'est également la question de l'émancipation de la jeunesse qui est posée, à travers de multiples métaphores. Comme à son habitude, Katerini Antonakaki nous emmène dans un univers visuel chargé de poésie en mouvement, tout en adressant des questions ouvertes à la mythologie intime de chaque spectateur.