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Le Petit musée des horreurs (dites) ordinaires

du 09 janvier 2025 au 10 janvier 2025

Prix à partir de

Fanchon Guillevic

Jeu. 09 janv. à 15h30, 18h30, 19h30, 20h30 et 21h30

Ven. 10 janv. à 15h30, 18h30, 19h30, 20h30 et 21h30

Durée : 45min

Tarif unique 5€

En partenariat avec Le Tas de Sable – Ches Panses Vertes

Création théâtrale en tableaux-performatifs - Visite guidée - Appropriation des espaces

Cette recherche s'inscrit dans la continuité de l'engagement artistique de Fanchon Guillevic s'exprimant à travers une forme de lutte contre les violences faites aux femmes. Ce Petit musée des horreurs (dites) ordinaires est une tentative de sensibilisation à la réalité des violences conjugales, hétéronormées, envers les femmes. Dans son obsession, récurrente, de placer les spectateur·rice·s face à des réalités crues par la portée de l'esthétique poétique, elle choisis une expérience visuelle et sonore en composant trois tableaux performatifs. Fanchon envisage un parcours contemplatif de ces trois tableaux, avec une volonté nette : limiter le risque d'un détournement du regard face à ces « petites horreurs (dites) ordinaires » afin que nous puissions, toujours plus nombreux·ses, nous liguer contre les violences faites aux femmes.

Fanchon Guillevic

Jeu. 09 janv. à 15h30, 18h30, 19h30, 20h30 et 21h30

Ven. 10 janv. à 15h30, 18h30, 19h30, 20h30 et 21h30

Durée : 45min

Tarif unique 5€

En partenariat avec Le Tas de Sable – Ches Panses Vertes

Création théâtrale en tableaux-performatifs - Visite guidée - Appropriation des espaces

Cette recherche s'inscrit dans la continuité de l'engagement artistique de Fanchon Guillevic s'exprimant à travers une forme de lutte contre les violences faites aux femmes. Ce Petit musée des horreurs (dites) ordinaires est une tentative de sensibilisation à la réalité des violences conjugales, hétéronormées, envers les femmes. Dans son obsession, récurrente, de placer les spectateur·rice·s face à des réalités crues par la portée de l'esthétique poétique, elle choisis une expérience visuelle et sonore en composant trois tableaux performatifs. Fanchon envisage un parcours contemplatif de ces trois tableaux, avec une volonté nette : limiter le risque d'un détournement du regard face à ces « petites horreurs (dites) ordinaires » afin que nous puissions, toujours plus nombreux·ses, nous liguer contre les violences faites aux femmes.